L’histoire est celle de Germain, le facteur. Tous les jours, il fait la tournée de son quartier, avec ses lettres, ses recommandés, ses catalogues et ses calendriers. C’est un homme qu’on aime. Il discute avec les gens, il fait partie de la vie du quartier. On découvre le quartier et ses habitants à travers les yeux de Germain, dans le quotidien de sa tournée, avec ses gens seuls, ses lignes droites et ses courbes. Un jour, Germain trouve dans la rue une lettre avec une drôle d’adresse dessus, et par jeu, il décide de chercher le destinataire. L’histoire devient alors une enquête de quartier.
RUE DE LA BASCULE se veut être une histoire simple, un reportage du quotidien, qui parle des faubourgs, et des gens qui font ces lieux. Et c’est dans ce décor que l’histoire se transforme en une enquête improbable, une recherche teintée d’introspection.
RUE DE LA BASCULE parle aussi des solitudes des villes. Et l’issue de cette
histoire ne peut être que positive, car la vie elle-aussi peut être simple.